24 Heures avec Inge Onsea & Virginie Morobé
Le diable s’habille en Essentiel Antwerp & Morobé
Aussi loin qu’elle puisse s’en souvenir, Virginie Morobé a toujours eu un faible pour les chaussures alors qu’Inge Onsea s’est retrouvée dans le milieu de le mode un peu par hasard après avoir passé cinq ans en Inde. Et on ne remerciera jamais assez le ciel pour ce heureux hasard! Ce que ces deux fonceuses ont en commun? Une passion pour la mode et un don pour le business. Mais comment trouver un juste équilibre entre travail et plaisir, quand on a fait de sa passion son métier? Une chose est sûre : les tout nouveaux appareils Samsung saupoudrent le quotidien de ces reines de la mode d’une bonne dose de fun. 24 heures sans Prada… mais remplies de plaisir et de collections dinguissimes!
APPRENDRE SUR LE TAS & SUIVRE SON INTUITION JUSQU’EN INDE
D’après Virginie Morobé, une tenue se construit autour d’une paire de chaussures, et pas inversement. Bien que Virginie ait été attirée par les chaussures depuis sa plus tendre enfance, elle n’avait pas forcément cette passion en tête lorsqu’elle s’est dirigée vers des études de droit. C’est un job étudiant chez une marque de chaussures qui a changé la donne. « Je n’ai jamais appris à dessiner des chaussures, j’ai tout appris sur le tas. C’est ça, combiné à mon sens inné des couleurs et mon flair pour les tendances, qui m’a permis de faire de ma passion mon métier », explique Virginie. Ce qui caractérise une telle rebelle en affaires, d’après elle? La détermination, mais aussi le fait de rester fidèle à soi-même, de suivre son intuition, de faire ce qu’on aime et de travailler dur. Inge, quant à elle, n’avait pas d’ambition particulière quand elle était ado. Elle n’en avait pas non plus quand elle décide de partir en Inde après être brièvement passée par la case mannequinat. « C’est une peu en mode touriste que je suis arrivée dans mon job. Tout est toujours venu à moi très naturellement. C’est aussi comme ça que j’ai rencontré Esfan. Il est né dans le monde de la mode et à ses 30 ans, il a décidé que nous devions nous mettre à notre compte si nous ne voulions pas travailler pour d’autres personnes toute notre vie. C’est à ce moment-là que nous avons lancé une collection de t-shirts et le reste fait partie de l’histoire. On n’avait pas vraiment prévu quoi que ce soit, et on peut dire que c’est le fil rouge de ma vie. Par contre, j’ai toujours suivi mon intuition », confie Inge.
SE LEVER AUX PETITES HEURES
Quand on a fait de sa passion son métier, la limite entre plaisir et travail est souvent floue. Inge avoue qu’elle a, elle aussi, été en quête du juste équilibre pendant des années. « Au début de l’aventure Essentiel Antwerp, il n’y avait aucune frontière entre les deux. Je n’avais absolument aucun moment libre. Quand on travaille aussi passionnément, on ne sent pas forcément qu’on travaille. Maintenant que mes enfants sont plus grands, je me rends compte que j’ai su m’entourer des bonnes personnes au fil des années et que je peux vraiment déléguer. Mais il m’a tout de même fallu quinze ans avant de trouver un semblant d’équilibre entre la sphère pro et privée », souligne Inge. « Maintenant, j’ai le temps de faire des choses. Surtout le matin. Je fais du sport chez moi en suivant les exercices de Katie Austin – la Jane Fonda de notre temps! – sur ma Tab S7 avant de démarrer ma journée », s’enthousiasme Inge. Virginie opte elle aussi pour un début de journée sportif. « Une heure de sport avant d’attaquer la journée, c’est apaisant et permet d’aborder l’agenda – et le stress qui va avec – avec plus de sérénité », estime-t-elle.
UN CHAMPIONS LEAGUE SANS PORTABLE
En plus de suivre ses routines sportives via la Galaxy Watch 3, Virginie accorde une attention toute particulière à son alimentation grâce à l’appli Yazio. « Construire une marque, ça ressemble beaucoup à jouer la Champions League. C’est pourquoi je fais attention à mon alimentation et que je veille à rester en mouvement. La connaissance, c’est le pouvoir et c’est ce que j’aime dans la Galaxy Watch3. Je fais du sport six fois par semaine, et j’aime surveiller ma fréquence cardiaque, surtout quand je fais de la cardio intensive. Cette information permet de s’adapter en cas de besoin. En plus, grâce à son design intemporel, la Watch3 matche parfaitement avec toutes les chaussures Morobé », ajoute la créatrice de chaussures en riant. Virginie reste donc au top, que ce soit sur le plan pro ou privé, grâce à sa Watch3 alors qu’Inge parvient à tout gérer sans PC portable. Dingue, non? « Ne pas avoir de portable, c’est un choix délibéré. Pour Essentiel Antwerp, je travaille uniquement depuis ma Tab S7 ou depuis mon smartphone. Quand je suis en déplacement et qu’une idée me vient pour un imprimé sympa ou une association bien précise de couleurs, je sors ma Tab S7 et le S pen pour faire un croquis en vitesse que je peux directement partager avec mon équipe », explique Inge.
STRUCTURER & COMMENCER PETIT
Si Inge n’avait qu’un seul conseil à donner à tous les jeunes esprits créatifs? « Suivez toujours votre intuition! Commencez petit, avec une collection modeste, pour que vous puissiez donner une image claire de vos valeurs ; et travaillez de façon durable », conseille Inge. D’après Virginie, connaître son rêve, c’est le premier pas mais il faut aborder ce rêve de façon structurée. « On ne peut pas commencer à faire des choses à tout va, même en tant que créatif. Il faut un projet structuré et connaître les étapes à franchir pour concrétiser son rêve. Ou alors, faites comme moi, et entourez-vous de quelqu’un qui apporte cette structure à votre vie. Parce qu’il faut bien avouer que, bien qu’on ne puisse pas progresser de cette façon, la plupart des esprits créatifs sont assez chaotiques », conclut Virginie.
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